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L'univers des paradoxes

...Là où il y a des fées avec des nez de cochons et des ailes de béton!

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Lundi (19/02/07)

S'agenouiller pour pêcher de la force.

Il y a environ 24 heures j’ai rencontré l’homme qui allait me permettre de faire le saut vers l’univers tant convoité. Mr.P, un homme au-dessus de ses affaires qui exerce dans le milieu du théâtre et qui guide des jeunes ayant la tête pleine d’espoir, comme moi. Un être qui a su prendre le taureau par les cornes avec fermeté et qui maintenant est largement récompensé et respecté dans le milieu.

D’abord, il a apprécié ma façon de présenter ma demande d’admission à L’ÉNT . En gros, j’ai joint au formulaire un texte audacieux, qui offrait un léger aperçu de la marginalité de mon être. Ensuite, il m’a invité à lire la fable de la cigale et la fourmi, du coup, j’ai cru qu’il voulait simplement évaluer ma diction, alors j’ai lu ces quelques lignes impeccablement mais sans intonation. Il m’a regardé, m’a demandé de lui prêter le livre et s’est mis à interpréter cette fable comme un Dieu. Un silence. « À l’ÉNT, c’est pas moins que ça. Je vais être honnête, je ne pourrai pas te rendre au sommet à temps.». Je suis resté tellement figé, je ne me rappelle plus de la dernière fois ou j’ai ressenti un tel sentiment. C’était un peu comme si ces mots avaient éveillés tellement d’émotions différentes à un même degré que mon corps n’arrivait pas à répondre à mon âme. D’une part, j’avais mal assimilé ces pseudos directives et d’une autre, je n’arrivais pas à croire que mon évaluation se terminait là. Une chance… une seule! UNE FABLE PAS INTERPRÉTÉ au détriment de quelques nuits blanche que j’avais passé à mettre au point des dialogues dramatique ou comique. Voilà qui suffisait pour qu’on me considère ni plus, ni moins qu’une espèce de fille-victime-de-ses-pulsions, sans potentiel marquant. J’étais assise, je le fixais et je captais 2 mots sur 12. J’avais même pas les ressources nécessaires pour envisager de me justifier. Mon cerveau était monopoliser par la phrase « C’est pas possible!» et mes fonctions vitales avaient cesser d’obéir à mon enveloppe corporelle, j’avais l’impression qu’elles s’étaient réunies afin de former un bouclier géant pour protéger mon jardin intérieur, victime de se violent bombardement.

Un moment, il a balancé quelque chose dans le genre; «T’attends quoi de moi?». J’ai dis ce qui était légal de dire afin de me procurer une deuxième chance. J’ai alors réalisé combien l’argument E était gagnant et passe-partout. Ouais, traînez toujours ce genre de raison qui mise sur l’enrichissement, l’épanouissement et l'expérience, elle vous mènera à vos fins, promis! Bref, nous avons ensuite discuté de son cheminement, histoire de nourrir mon sentiment d’envie.

 Durée de la rencontre : 40 minutes

Prochaine rencontre : Mercredi

Trucs à faire pour Mercredi : Simplement lire une scène sans adopter une intonation à mon personnage.

 Mon objectif personnel : Apprendre le texte par cœur, lire la pièce de théâtre au complet pour cette journée.

En quittant son appartement, je suis allée m’enivrer de froideur, de caféine et de sucre. Rien à faire, mon sang semblait s’être caillé et ne plus circuler. Je me répétais en boucle le dialogue entre moi et ce Dieu de l’interprétation et je me disais que mercredi j’allais m’attribuer un autre rôle… Toutefois, je devais aller pêcher davantage de la force et de l’expérience à profusion. J’ai alors tenté de dresser un top 10 de solutions, mais attribuer un numéro de priorité à celles-ci, c’était un tantinet plus compliqué que je l’avais prévu. Il me faut LA ou LES meilleures… c’est une question de vie ou de mort [ Ok, ok ça peut peut-être vous sembler exagéré, mais je vous assure qu’à ce moment là, je me sentais comme Léonardo Dicaprio dans le Titanic, soit je monte sur l’horloge ou soit je laisse Kate s’en emparer et je meurt dans une certaine eau glaciale (lol)]. C’est alors qu’en franchissant le tourniquet de la sortie du métro, 1 itinérant m'a demandé d’acheter pour 2 dollars le magazine «itinérance», 1 dollar revient au camelot et pour certains, ça leur permet de réévaluer leurs objectifs de vie. J'ai accepté et ça m’a rappelé l’existence de l’Accueil Bonneau [ Endroit où certains camelots y logent et où une pléthore de bénévoles servent des repas chaud et entretiennent la place ]. Je suis arrivée chez moi et j’ai fait des démarches pour m’y joindre. Je me suis sentit un peu mieux. Mon sang était épais mais j’arrivais à respirer de nouveau naturellement. C’était pas assez.

J’ai poursuivi ma recherche virtuelle et j’ai tombé sur le site des Grands-Frères et Grandes-Sœurs de Montréal. Cet organisme permet aux jeunes du primaire qui font partie d’une famille monoparentale, sans sœur et frère de bénéficier du soutient d’un adulte. Il existe différent jumelage, en ce qui me concerne j’ai décidé de devenir la grande-sœur d’un jeune en lui offrant plusieurs heures par semaine par l’intermédiaire de quelques activités. Je me suis dit que probablement que c’était une bonne occasion de vivre quelque chose d’intense et d'acquérir un force supplémentaire en étant directement serviable. 120 jeunes attendent impatiemment la venu d’un jeune adulte… C’est ma chance.

Carpe diem!

Ecrit par nomade0007, à 05:14 dans la rubrique "Actualités".

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Mardi (30/01/07)

" Je m'en allai dans les bois

Parce que je voulais vivre sans hâte.

Je voulais vivre intensément

Et sucer toute la moelle de la vie!

Je voulais chasser tout ce qui dénaturait la vie.

Pour ne pas au soir de la viellesse,

Découvrir que je n'avais pas vécu."

- Thyäl (interprété par Keeting dans le Cercle des poètes disparus.)

Ecrit par nomade0007, à 18:41 dans la rubrique "Actualités" - Mise à jour : Samedi 3 Février 2007, 07:21.

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Lundi (18/12/06)

« Kraft Diner» et pain sec, et puis?!

     19 ans et demi voilà le temps qui m’a fallu pour faire entièrement confiance à mes pulsions. Fini, les moments où je me laisse intimider par des gens désillusionné qui font du 9h-5h par sécurité financière et non par passion. Marre, vraiment marre du rêve américain, de tous ces foutus billets et pièces de monnaie sur un piédestal argenté que l’on vénère à 4 pattes avec les yeux pétillants et le mince coulis de bave qui accompagne cette soif de réussite, de confort. Je suis une artiste et je veux le crier et le prouver à tous ces gens. Dès lors, méfiez-vous de ma détermination. Ignorer ou cesser de nourrir sa passion c’est comme s’offrir un laisser-passer gratuit vers le gouffre. Heureusement, cet univers est toujours accessible, fidèle, elle nous attend et pardonne même quand on lui tourne le dos!

 

C’est grave quand même d’avoir dû étudier et analyser des articles de loi dans le domaine le plus conventionnel pour comprendre que j’étais entrain d’ euthanasier ma créativité. Effectivement, je me rend à l’évidence, j’ai tromper ma raison avec celle d’autrui dans le but de m’oublier et renaître, devenir ce qu’on attend de moi sans même avoir consulter ma volonté. C’est correct, je vais, c’est certainement pas aujourd’hui qu’on va jouer à la victime. Au contraire, mes amis, nous allons chanter «victoire»! Oui, oui, on lève notre verre à mon moment de lucidité et à ma détermination de béton. Je veux, je l’aurai! Voilà, aussi simple que ça mes amis. Mon plan? Je vais apprendre le plus possible sur le domaine, que ce soit par les livres, les pièces de théâtre ou bien les gens du milieu, mais le plus important sera ensuite de concrétiser un 5 minute exceptionnelle qui charmera les juges au plus haut point à ma première audition. Je dois leur prouver avec fermeté que je suis une candidate idéal, que je suis indispensable…de façon modeste évidemment!

 

Je ressens un monstre besoin de m’entourer de gens qui sorte de l’ordinaire, qui sont créatif. Ma santé mentale l’exige…Je veux m’inspirer, partager avec des gens qui dégage une certaine magie et cette fascination d’emprunter un âme et de l’exploiter au maximum devant un public. Une paire d’ailes à temps partielle c’est pas suffisant pour être honnête avec moi-même…

 

Dès lors, faut me comprendre si je vous dis que j’ai été absente à plus de 50% de mes cours, que j’en ais abandonné un, coulé 2 ou 3, pseudo-réussis les autres en quêtant la note de passage comme une championne de l’art théâtral…Le problème c’est que c’était ma dernière session avant d’aller en stage pour une avocate, il allait de soi que je réussisse tous mes cours…oups!

 

Exemple : * Répondre à 5 questions sur 20 dans un exam de droit administratif et ajouté en bas de page à un prof qui vénère le film « La société des poètes disparus» :

 

« Désolé pour cet horreur, il s’avère que se marier avec Carpe Diem rend vraiment heureux mais créer quelques conflits, plus particulièrement entre moi et le droit…finalement on est pas aussi compatible que je croyais! Je passerai tantôt vous remettre des travaux (qui datent de 1 mois et quelques) au cas où ça vous tenterais de jouer au Père-Noël avant les fêtes et m’offrir la note de passage, je connais une maître de stage qui serait heureuse…» 

 

 

 

Ecrit par nomade0007, à 20:08 dans la rubrique "Actualités".

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Abracadabra!

      Petits bistros, clubs, sites de rencontre ou encore la télé-réalité dans le genre Loft story, qui croit que ce sont des endroits plus appropriés pour faire des rencontres intéressantes? Qui sous-estime les épiceries, les bibliothèques, les «sex-shops», les buanderies, voir même les trottoirs? Détrompez-vous…le mesureur officiel d’endroits « in» indique qu’il n’y a pas de places ni d’heures plus propices que d’autres pour serrer la main avec le potentiel. Effectivement, les kleenex-personnes,  il y en a partout. Vous savez, le genre de personnes qui passe un 4h à vos côtés et vous avez l’impression d’avoir jouer à Mère-Thérèsa tellement c’est ennuyant? Ouais! C’est dommage, mais c’est ça pareil! Heureusement qu’il faut de tous pour former cette …ce… CHAOS! Des gens s’y font et s’y retrouvent comme les «traîneux» professionnelles dans leur  chambre bordélique[1], toutefois d’autres n’arrive absolument pas à y patauger… Résultat : un phénomène très très intéressant! J’ai même tendance à comparer la pléthore d’âmes à un immense buffet chinois... Évidemment, il faut des pieds de poule marinés dans une sauce sucrée ( oui c’est du déjà vu!)  pour apprécier davantage le poulet « général Tao » et les desserts au chocolat.

 

Enfin, mes observations m’ont poussées à créer 7 catégories de personnes :

 

1-      Les «kleenex» : Elles sont gourmandes et égoïstes, elles bouffent votre temps et ne sont pas vraiment lucratives pour l’âme.

 

2-      Les protéines : Elles ne sont pas constamment à vos côtés, mais vous savez que vous pouvez compter sur eux, généralement elles se pointent le bout du nez lorsqu’elles savent que votre cœur est malade. Enfin, elle vous donne la dose d’énergie requise pour poursuivre votre chemin.

3-      Les substituts : Genre de personnes plus ou moins intéressantes que vous utilisés quand vous avez besoin d’un service ou de compagnie pour parvenir à vos fins.

 

4-      Les touristes :  Personnes non-identifiées qui se permet d’apparaître et de disparaître à sa guise, elles peuvent soit donner des roses ou y jeter les épines, ça dépend des moments. Nous manifestons un intérêt particulier, une sorte de curiosité téméraire pour ce type de gens. 

5-      Les peluches : Ce sont des gens adorables, très attachantes, elles fortifient l’âme et vous laissent ressentir un sentiment de confort et de bien-être.

6-      Le ou la «Teddy bear» : Une main est largement suffisante pour comptabiliser les gens qui font partie de cette catégorie. «LE» mec ou «LA» nana vraiment sexy en complet viens d’acheter du lait à l’épicerie à laquelle vous travailler? Votre poisson rouge vient de mourir? Automatiquement vos doigts se dirigent vers le téléphone ou à la sonnerie de la résidence en question.

7-      Les magiciens : Type de race excessivement rare. Cette catégorie de personnes est très spéciale. Elle vous fait perdre vos moyens, vous transforme  en pantin consciemment ou inconsciemment en vous lançant des sortilèges. Peut importe votre conception elle engendre chez vous un sentiment de dépendance et une monstre fascination.

Réjouissez-vous ou lâchez-y une larme, mais tout le monde a assurément déjà été le «kleenex» de quelqu’un… Pourquoi? Simplement parce que nos goûts diffèrent en matière d’art théâtral et que dépendamment de notre expérience, notre rôle peut sembler moins pertinent. Certaines personnes préfèrent les rôles à la 007 et d’autres à l’eau de rose. C’est correct! Des êtres peuvent engendrer chez soi un sentiment d’infériorité, d’autres peuvent tous simplement nous mettre beaucoup plus à l’aise. Ainsi va le monde! Dès lors, nous y adoptons un rôle différent dépendamment de la personne ou du groupe de gens qui se trouvent sous notre route. Parfois, on peut se surprendre à être le Bibi ( La Céline Dion des marionnettes, pour les incultes!) de quelqu'un, se surprendre à chanter à haute voix «parole y parole y parole» à un «kleenex» en devenir ou bien voire même à y jouer le Doc Mailloux et le Don Juan en espace de 5 minutes aux côtés d’une âme, pour une raison quelconque (expérience palpitante garantie!). Quel enchantement! Donc, le truc chouette à en retirer c’est que votre rôle n’est jamais définitif, le «Teddy bear» d’un être peut être le papier mouchoir d’un autre!

Puis-je me permettre de remettre en question le principe de l’identité? Que diriez-vous si j’avançais le fait que nous ne possédions pas d’identité mais plutôt quelques repères? Que ce qu’on nomme « identité » est une panoplie de rôles? Que ces rôles sont souvent momentanés et éphémères? Qu’ils se reforgent à chaque contacts humains, moments, circonstances et merveilles rencontrées? Que le fait de tenir plusieurs rôles pour diverses pièces démontrent chez la plupart des gens un professionnalisme remarquable? Omettre d’apprendre son texte, ne pas se présenter à toutes les pratiques, refuser de «dealer» avec les autres artistes ou encore ne plus avoir envie d’interpréter un rôle est davantage une question de passion que d’incompétence?

Bref, j’ose en conclure que tout le monde est un mystère et un paradoxe pour lui-même malgré ses convictions (J’adore! Les «péteurs de bulles» s’abstenir.. Je blague!) Avant de disparaître, je crois important de faire la remarque suivante : MIRACULEUSEMENT, il arrive qu’un magicien s’amuse à transformer notre cœur en parfaite «streaptiseuse», sans vous avoir consulter…! Avis aux pudiques : les pervers qui arrivent à déshabiller votre cœur subtilement…«COLLER LEURS LES BASKETS!». Ces âmes sont des catalyseurs, non seulement ils ont réussi à viser juste mais ils nous permettent également de nous surpasser en nous offrant des indices considérables pour jouir des parcelles de magie.

Résumé : ------» Oui, ça vaut  le coup!

Avertissement : Un boxeur talentueux se cache souvent à travers toute chose fascinante, mais ça vaut la peine, de toute façon les coups de poing ça se guérit!

 

 °°° La nomade du 21e siècle °°°°



[1]  Je tenais à émettre un commentaire… le bordèle c’est un ART, de l’art abstrait si vous préférez, mais bon, que personne ne critique cette façon  quelque peu originale de disposer les objets lol!

Ecrit par nomade0007, à 19:20 dans la rubrique "Actualités".

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Dans le clan des femmes qui aime trop…

Il y a deux mois, j’étais la fille qui prônait l’indépendance en couple, voire même le touriste d’un homme à l’autre. Pourquoi? Simplement pour garder le contrôle de moi-même, des circonstances et des autres. C’était une question d’instinct maternel, je me devais de protéger mon âme. Ce contrôle, je le vénérais…oui, je sentais que sans lui mon pouvoir était pas à la hauteur de mes objectifs, que j’allais être plus propice à devenir une pauvre impuissante dépendante de la moindre affection. Ça, c’était un non officielle, j’allais être une nomade joyeuse, infaillible, ambitieuse avec une bonne dose de témérité et de sagesse, en l’occurrence la pièce de viande des dépendants-affectifs!  Mettre à nu mon cœur était une chose difficile et en ce qui concerne le pourcentage qu’un regard amoureux mâle le déshabille…- 80% (oui, un pourcentage négatif, ça existe dans mon monde!).

 

Lui permettre de découvrir mes faiblesses? Lui dévoiler les différents personnages que compose mon être, y compris mon côté humain? Aucunement…valait mieux laisser la Barney sadomasochiste, bipolaire, confuse en «stand by» en dessous du lit avec la poussière et déposé des banderoles jaunes avec un «warning» répétitif pour laisser vivre davantage la passionnée, la téméraire et la déterminée. C’était préférable, en amour il faut avoir une confiance en soi de béton. J’ai pas eu besoin d’un secondaire 5 pour comprendre à quel point ce sentiment peu démolir un cœur, quand c’est pas plusieurs. Effectivement, je l’ai saisis pas longtemps après avoir atteint l’âge de raison : Quand une maman balance des sacs de poubelles énormes, qui contiennent des vêtements, pour la deuxième fois en pleurant et en criant des méchancetés (Souvent ça commençait par SA et ça finissait par LOP!) et que Papa pour la 7655434358 fois répète; « Je le ferai plus…». Maman renie alors les hommes et mon père disparaît de la carte en oubliant que ses baises ont coûter 3 kids et bien de la misère à Maman.

 

J’ai essayé. Un moment, alors que quelques mers me séparait de xyz., un de mes ex-copain, j’ai déclaré à ma meilleure amie : «Je l’ouvre». Le problème c’est que j’ai pas su assuré et la pensée de me retrouver en face de lui, a refermé les portes de mon cœur avant même que la situation se produise. Aucune certitude, doute à volonté, beaucoup de paroles, de sexe et de respect…mais pas de passion. J’avais beau apprécier ce mec, mais aimer ça se commande pas.

 

Et là vous savez quoi? Il y a 2 mois on m’a offert sur un plateau d’argent l’homme de ma vie. Vous avez bien lu! Est-ce un cadeau empoisonné? Cette été, j’ai trompé mon ex et je me suis tapé un trip à 5…et là je me surprend à vouloir ouvrir les portes de mon cœur le plus parfaitement possible et à croire au coup de foudre. Si ça c’est pas une perte de contrôle et bien je suis le Pape! Je déteste la notion de perfection, quand elle fait son apparition celle-là elle annonce un manque de spontanéité, justement en apprenant à être la femme de sa vie, j’ai l’impression de m’égarer de la personne avec qui j’ai envie d’habiter pour toujours; c’est-à-dire, moi. Je perd la boule… Je réclame une boussole.  

Barney

Ecrit par nomade0007, à 06:02 dans la rubrique "Actualités" - Mise à jour : Mardi 19 Décembre 2006, 01:40.

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